Puteaux, le 12 mars 2024 – MSD France, filiale du laboratoire pharmaceutique américain Merck & Co., Inc., Rahway, NJ (Etats-Unis), acteur majeur de recherche et d’innovation en oncologie, en infectiologie et dans les vaccins, est fier d’avoir été reconnu par Great Place to Work® comme l’une des 30 entreprises de 250 à 1 000 salariés “Best Workplaces™” où il fait bon travailler en France en 2024.

Après avoir obtenu en janvier 2024 et pour la deuxième année consécutive la certification Great Place to Work®, MSD France s’est vu décerner une seconde fois le label Best Workplaces™, qui constitue l’un des plus hauts niveaux de reconnaissance de la qualité de l’environnement de travail au sein des organisations. Sur 94 prétendants au label, 30 lauréats ont été sélectionnés sur la base d’un Culture Audit® évaluant les pratiques managériales de l’entreprise et des résultats de l’enquête Trust Index® menée auprès de ses collaborateurs et qui s’articule autour de cinq critères : la crédibilité, le respect, l’équité, la convivialité et la fierté. 89 % des répondants se sont déclarés fiers de travailler pour MSD.

« Travailler pour une entreprise qui a pour ambition d’améliorer la santé de nombreuses personnes est une mission exigeante mais fortement porteuse de sens pour chacun de nos collaborateurs qui s’engagent au quotidien en faveur des patients. Cette valeur partagée de l’humain au cœur, combinée à l’ensemble des initiatives que nous mettons en place pour créer un environnement de travail épanouissant pour nos collaborateurs, nous permet de recevoir pour la 2ème année consécutive la labellisation Best Workplaces, et nous en sommes très fiers », a souligné Clarisse Lhoste, Présidente de MSD en France.

Des éléments de différenciation tangibles

MSD France s’attache à bâtir une culture d’entreprise qui permette à chacun de s’épanouir et de se sentir accompagné. Le label a ainsi mis en avant certaines pratiques particulièrement remarquables – notammnet autour des thématiques du développement, de l’innovation ou encore de la confiance – visant à améliorer le bien-être des collaborateurs grâce à des initiatives concrètes et différenciantes.

MSD France souhaite en particulier accompagner ses collaborateurs à chaque étape clé de leur vie pour soutenir un équilibre de vie personnelle et professionnelle, au travers de mesures tangibles en matière de parentalité ou d’accompagnement des collaborateurs faisant face à la maladie ou à celle d’un proche. Parmi elles, la possibilité pour l’ensemble des salariés de bénéficier d’un congé parental de 12 semaines, rémunéré à 100 % de leur salaire, ou encore la possibilité pour les collaborateurs qui assurent un rôle de proche aidant de bénéficier de dons de jours de congés offerts par leurs collègues – abondés par MSD France.

Pour Guillaume Jarlot, Directeur des Ressources Humaines : « Chez MSD France, nous sommes attentifs à construire une culture d’entreprise qui permette à chacun de se développer et de s’épanouir. Cela passe par un accompagnement des collaborateurs à chaque étape clef de leur vie afin qu’ils puissent pleinement s’accomplir dans leur vie professionnelle. Nous sommes ravis d’obtenir à nouveau cette reconnaissance qui reflète tout le travail réalisé par les équipes MSD pour aller encore plus loin dans cet accompagnement. »

Puteaux, le 22 janvier 2024 – MSD France, filiale du laboratoire pharmaceutique américain Merck & Co., Inc., Rahway, NJ (Etats-Unis), acteur majeur de recherche et d’innovation en oncologie, en infectiologie et dans les vaccins, est fier d’avoir été certifié Great Place To Work® pour la deuxième année consécutive. Ce label constitue l’un des plus hauts niveaux de reconnaissance de la qualité de l’environnement de travail au sein d’une entreprise.

Cette année, les résultats ont montré un niveau de satisfaction particulièrement élevé sur les sujets de la bienveillance et de la confiance. De même, un vrai sentiment de fierté a été mis en avant par les employés en ce qui concerne leur emploi, leur équipe et, plus largement, la mission de santé publique de l’entreprise : utiliser le pouvoir de la science pour sauver et améliorer des vies.

Une belle progression entre 2022 et 2023

En 2023, 83 % des collaborateurs considèrent MSD France comme une entreprise où il fait bon travailler, soit 6 % de plus que l’année précédente. La thématique de la confiance du management et de l’autonomie dans le travail réalisé a été particulièrement saluée lors de l’enquête, de même que les valeurs humaines de l’entreprise et sa culture de la bienveillance, qui favorisent l’équilibre vie professionnelle/personnelle.

Pour Guillaume Jarlot, Directeur des Ressources humaines : « Obtenir une deuxième fois cette reconnaissance témoigne de l’ensemble des efforts de l’entreprise pour offrir aux collaborateurs un environnement de travail épanouissant, respectueux de chacun et qui rend fier. Nous sommes très heureux des résultats obtenus qui représentent un indicateur supplémentaire de la pertinence de nos initiatives, et nous motivent à continuer d’améliorer le quotidien de nos collaborateurs en faisant vivre pleinement notre valeur d’humain au cœur. »

Ces dernières années, MSD France a en effet déployé des initiatives fortes en faveur du bien-être des collaborateurs. Parmi elles, la possibilité pour les collaborateurs qui assurent un rôle de proche aidant de bénéficier de dons de jours de congés offerts par leurs collègues, abondés par MSD France, ou encore la possibilité pour l’ensemble des salariés de bénéficier d’un congé parental de 12 semaines, rémunéré à 100 % de leur salaire.

Plus de 8 collaborateurs sur 10 recommanderaient fortement MSD France à leur entourage

La fierté ressort également comme un axe particulièrement fort dans l’enquête avec 84 % des collaborateurs du périmètre ayant répondu positivement aux questions qui y sont relatives : fierté des réalisations, sentiment d’utilité, qualité des réalisations collectives… Ce sont également 84 % des collaborateurs qui recommanderaient fortement MSD France comme une entreprise où il fait bon travailler, et 80 % à considérer que leur activité professionnelle a un sens particulier pour eux et qu’ils ne la considèrent pas uniquement comme un emploi : un chiffre qui témoigne de l’engagement fort de chacun vis-à-vis de MSD France et de sa mission au service des patients.

« Mon rôle en tant que présidente d’un laboratoire pharmaceutique est d’œuvrer pour une société en meilleure santé, et cela commence par le bien-être de nos collaborateurs. Les excellents résultats que nous avons obtenus nous rendent particulièrement fiers et attestent que nos valeurs et les actions mises en place ont du sens. Cette conscience collective de notre rôle en termes de santé publique nous engage chaque jour à donner, ensemble, le meilleur de nous-mêmes pour sauver et améliorer des vies. »a souligné Clarisse Lhoste, Présidente de MSD France.

Dossier de presse, 21 Septembre 2023 – MSD France s’engage avec l’initiative « CAP Poumons » : des journées d’information grand public dans les centres hospitaliers français pour Comprendre, Agir et Partager autour du cancer du poumon.

Alors que le cancer du poumon est le cancer le plus meurtrier avec plus de 33 000 décès chaque année en France1, il fait partie des cancers dont la prise en charge a été transformée ces dix dernières années grâce à l’arrivée des thérapies ciblées et des immunothérapies.

Pourtant, plus de la moitié des Français ne s’estime pas bien informée sur les facteurs de risque dans le cancer du poumon et ces avancées thérapeutiques sont souvent méconnues du grand public2.

MSD France, filiale française du laboratoire pharmaceutique Merck & Co., Inc., Rahway, New Jersey, laboratoire de 1er plan en oncologie et acteur pionnier dans la mise à disposition de l’immunothérapie, lance sur le territoire l’initiative « CAP Poumons », des journées d’information organisées en partenariat avec des centres hospitaliers, pour sensibiliser le grand public aux facteurs de risques, lutter contre les idées reçues et informer sur les progrès thérapeutiques réalisés dans la prise en charge du cancer du poumon.

Les chiffres clés du cancer du poumon en France

  • 1ère cause de décès par cancer en France3
    • 1ère cause chez l’homme
    • 2ème cause chez la femme
  • 3ème cancer le plus fréquent
  • Près de 170 000 personnes atteintes3

20 % de taux de survie nette standardisée à 5 ans des pers. diagnostiquées entre 2010 et 2015 3

Le 3/4 sont diagnostiquées à des stades avancés4

Taux de survie dépassant les 50 % en cas de diagnostic précoce 4

Souvent diagnostiqué à un stade tardif, le cancer du poumon est l’un des cancers de plus mauvais pronostic, avec un taux de survie à 5 ans de 20 %.

Depuis plusieurs années, le taux d’incidence du cancer du poumon ne cesse de progresser. Pour les hommes5, la progression du taux d’incidence reste mesurée (-0,5 % par an entre 2010 à 2023).

Elle augmente en revanche nettement chez les femmes (+4,3 % par an entre 2010 et 2023), principalement en raison de l’augmentation de la consommation du tabac6. 80 % des cancers du poumon lui sont attribuables.

L’immunothérapie, une révolution thérapeutique en cours vers les stades précoces du cancer du poumon

Depuis les premières chimiothérapies, le traitement du cancer du poumon a considérablement évolué pour tendre vers une amélioration de l’efficacité et une diminution des effets secondaires. Véritable espoir de la médecine dans le traitement du cancer du poumon il y a près de 8 ans, l’immunothérapie a depuis démontré son action dans la prise en charge de multiples cancers.

L’immunothérapie consiste à stimuler le système immunitaire pour qu’il détruise les cellules tumorales.

Pour les patients dont le cancer est compatible avec cette forme de traitement, elle peut permettre :

  • d’interrompre la croissance et la propagation des cellules du cancer du poumon ;
  • de détruire les cellules cancéreuses ;
  • de maîtriser les symptômes du cancer du poumon avancé ou métastatique7.

Aujourd’hui, cette classe de traitement est largement utilisée pour la prise en charge des affections à un stade avancé ou métastatique, transformant le pronostic des patients et permettant même chez certains une forme de chronicisation du cancer du poumon.

L’objectif désormais est d’étendre ce traitement aux stades précoces du cancer du poumon pour le traiter plus tôt et plus efficacement, offrir de meilleures chances de rémission aux patients et améliorer considérablement leur qualité de vie.

Des progrès thérapeutiques constants dans la prise en charge du cancer du poumon

Recherches en cours : l’état de la recherche clinique MSD dans les stades précoces de la maladie

MSD fait progresser la recherche afin de transformer la manière dont le cancer du poumon est traité et d’améliorer ainsi les résultats pour les patients touchés par cette maladie mortelle.

  • Grâce à 200 essais cliniques incluant plus de 36 000 patients dans le monde, MSD est à la pointe de la recherche sur le cancer du poumon.
  • En France, MSD mène actuellement 22 essais cliniques dans le cancer bronchique.

Dans le cancer du poumon non à petites cellules, son immunothérapie dispose de cinq indications approuvées dans plus de 95 pays dans le traitement de la maladie à un stade avancé. Parmi les efforts de recherche figurent des essais visant à évaluer son efficacité à des stades plus précoces, ainsi que sur l’identification de nouvelles combinaisons et co-formulations.

La découverte d’un cancer à un stade précoce peut donner aux patients de meilleures chances de survie à long terme. De nombreux cancers, dont le cancer du poumon, sont considérés comme plus faciles à traiter et potentiellement curables à un stade précoce de la maladie.

S’appuyant sur une bonne compréhension de l’immunothérapie et de son rôle dans la prise en charge des cancers aux stades métastatiques et avancés, MSD étudie son potentiel dans les stades précoces de la maladie, avec environ 20 études d’enregistrement en cours portant sur de multiples cancers.

« Les facteurs de risque pouvant expliquer la survenue d’un cancer sont très étudiés par la communauté scientifique et médicale. Quand on sait que 2 cancers sur 5 pourraient être évités, il y a un véritable enjeu d’information autour des comportements à risque et leurs effets sur notre santé pour provoquer une prise de conscience. »

Pr Marie Wislez, onco-pneumologue à l’Hôpital Cochin

L’enjeu d’un diagnostic précoce du cancer du poumon

A l’inverse des cancers colorectaux, du sein et du col de l’utérus, le cancer du poumon ne fait, jusqu’à présent, pas l’objet d’un programme de dépistage organisé.

Tandis que ce dépistage constitue un objectif du Plan cancer 2021-2030, la Haute Autorité de Santé encourage, dans son rapport d’orientation du 1er février 2022, la mise en place d’un projet pilote en vie réelle et la rédaction d’études complémentaires pour documenter et définir les modalités de dépistage les plus adaptées au contexte français (voir encadré ci-dessous).

Par ailleurs, seul un diagnostic précoce permet une prise en charge curative. Or, les cancers du poumon sont souvent diagnostiqués à un stade avancé en raison de symptômes peu spécifiques. Le diagnostic précoce est donc difficile à faire.

L’INCa lance un projet pilote de dépistage du cancer du poumon, objectif du Plan cancer 2021-2030. La technique de dépistage qu’il propose reposera sur un examen d’imagerie : un scanner thoracique faible dose sans injection, aussi appelé tomodensitométrie faible dose. S’inscrivant dans une action de santé publique, outre les critères qui devront être définis (éligibilité de la population cible, modalités du dépistage, plan d’assurance qualité, intégration d’une aide au sevrage tabagique…), ce projet fait également aujourd’hui l’objet d’un cadrage juridique, éthique et déontologique.

Le bilan diagnostic repose alors sur un examen clinique, une radiographie du thorax, un scanner thoracique et une biopsie.

Pris suffisamment tôt, les taux de survie augmentent considérablement à plus de 50 %9.
L’enjeu du diagnostic précoce est donc fondamental pour les patients, d’autant plus que le développement de l’immunothérapie et des thérapies ciblées offre de grandes chances de succès.

« Les avancées thérapeutiques sont remarquables ces dernières années. L’immunothérapie en est un bel exemple : elle permet aujourd’hui d’obtenir des résultats jusqu’ici jamais atteints avec pour la première fois un espoir de rémission voire de guérison chez certains patients. Pour autant, le Grand Public ne mesure pas encore suffisamment l’apport de ces progrès dans la prise en charge du cancer du poumon, d’où le besoin d’information à travers les journées CAP Poumons ».

Dr Bertrand Mennecier, pneumo-oncologue, CHU Strasbourg

« CAP Poumons » : une initiative MSD France pour mieux faire connaître les facteurs de risque et les innovations thérapeutiques dans le cancer du poumon

Pour contribuer à sensibiliser aux facteurs de risque et à informer le grand public des progrès thérapeutiques réalisés dans la prise en charge du cancer du poumon, MSD France lance aujourd’hui « CAP Poumons ».

Conçues avec l’appui d’un conseil scientifique pluridisciplinaire, composé d’onco-pneumologues, d’infirmiers et de l’association « Mon Réseau Cancer du Poumon / Patients en réseaux », ces journées d’information sont organisées dans les établissements hospitaliers pour permettre au grand public de comprendre, d’agir et de partager autour du cancer du poumon.

1. Comprendre

Démêler le vrai du faux, faire le point sur les idées reçues…

Sous un format ludique et pédagogique (lunettes de réalité virtuelle, memory, jeu des sept familles, quiz interactif…), les participants pourront en apprendre davantage sur le fonctionnement des poumons, le cancer du poumon et les dernières innovations en matière de traitements.

2. Agir

Ateliers de prévention sur les facteurs de risque

L’aide au sevrage tabagique, des conseils sur la nutrition et l’activité sportive seront proposés par les professionnels de l’hôpital (tabacologue, pneumologue, nutritionniste, kinésithérapeute…) qui accueillera « CAP Poumons ».

3. Partager

Explorer la possibilité de mettre des mots sur les émotions et la dimension psychologique du parcours pour les personnes atteintes d’un cancer ou celles qui les accompagnent.

C’est l’objet de l’atelier qui sera proposé par un onco-psychologue. Par exemple, comment communiquer avec un proche atteint, exprimer sa douleur, vivre sa sexualité, se rapprocher des associations de patients, etc. Une roue thématique « brise-glace » permettra d’ouvrir la discussion dans cet atelier de partage. Les participants seront également invités à réaliser une œuvre collective qu’ils pourront exposer.

Premières journées « CAP POUMONS » programmées

L’initiative « CAP Poumons » sera proposée en 2023-2024 dans une dizaine d’établissements hospitaliers afin de couvrir le territoire français et ainsi donner à tous l’opportunité
de s’informer sur le cancer du poumon.

  • 15 novembre 2023 CHU de Bordeaux

  • 1er décembre 2023 Nouvel Hôpital Civil | Hôpitaux Universitaires de Strasbourg

  • 2 février 2024 CHU Grenoble Alpes

  • Février 2023 Hôpital Saint Louis à Paris

  • Extension à d’autres centres hospitaliers début 2024

« Face au besoin d’information sur le cancer du poumon, « CAP Poumons » offre une opportunité unique de partager sur cette pathologie et de déconstruire les idées reçues qui lui sont souvent associées. Son objectif principal est de fournir les connaissances essentielles et de faciliter les échanges avec des professionnels de santé. La démarche à la fois ludique et pédagogique, à travers l’arbre géant et les cartes interactives, vise non seulement à rendre l’apprentissage plus engageant, mais aussi à libérer la parole sur un sujet souvent perçu comme lourd, créant ainsi un espace où le dialogue est encouragé et la curiosité stimulée ».

Laure Guéroult-Accolas, fondatrice de l’Association Patients en réseau

MSD, acteur majeur en immuno-oncologie, pionnier en immunothérapie

Dans le domaine de l’oncologie, MSD poursuit ses efforts et continue à investir dans cette voie thérapeutique si riche de promesses.

D’ores et déjà l’immunothérapie a largement fait ses preuves sur des cancers aux stades les plus avancés. L’objectif est aujourd’hui d’étendre son champ d’action et son efficacité sur les cancers de stades précoces, qui permettent d’améliorer les chances de survie et de rémission.

Pour les prochaines années, les chercheurs de MSD ont déjà identifié plus de 30 cancers pouvant bénéficier de l’immunothérapie et pour lesquels les besoins médicaux restent non couverts.

« MSD s’est engagé dans la recherche aux stades précoces avec un plan de développement clinique de plus de 120 études dans 11 types de cancers. Cinq de ces études ont déjà obtenu des résultats positifs dans le mélanome, le cancer du sein, du rein et du poumon. Ces innovations ou combinaisons de traitement permettront à l’avenir de proposer une option thérapeutique à plusieurs milliers de patients qui attendent des solutions nouvelles pour espérer guérir »

Dr Philippe Bonnard, Directeur Médical Oncologie MSD France.

Pour aller au bout de cette innovation, il faudra cependant :

  • Franchir de nouvelles étapes et repousser les limites de la recherche actuelle, pour remonter les lignes
    de traitement et permettre ainsi aux patients de bénéficier de l’immunothérapie le plus précocement possible.
  • S’attaquer aux cancers de mauvais pronostic pour lesquels les options thérapeutiques restent très limitées et peu efficaces.
  • Identifier et proposer des associations de traitement, pour renforcer les effets de l’immunothérapie.
  • Mettre le patient au cœur de la prise en charge avec une meilleure information, formation et sensibilisation autour de cette innovation thérapeutique.

Cela, de plus en plus tôt dans la maladie, afin d’améliorer les espoirs de rémission et de survie.

« Chez MSD, nous avons compris qu’une approche partenariale était essentielle pour faire bouger les lignes de la lutte contre le cancer et cela, à tous les niveaux : accélération de la recherche médicale, simplification du parcours de soins, amélioration de l’expérience patient…
L’initiative « CAP Poumons » est ainsi une illustration de notre engagement à faire avancer la connaissance sur le cancer du poumon pour informer le grand public sur les comportements à risque et les progrès réalisés mais également à accompagner les patients et leurs familles dans l’épreuve de la maladie »

Boris Danilovic, Directeur de l’Unité thérapeutique Oncologie MSD France

L’arrivée de l’immunothérapie à des stades plus précoces du cancer permet d’espérer, dès le diagnostic, une vie sans maladie.

Cet espoir d’améliorer les chances de guérison de milliers de patients français atteints de cancers deviendra une réalité à travers la mobilisation de tous : acteurs de santé, pouvoirs publics et citoyens.

Le partage d’expérience et la complémentarité de nos expertises devraient permettre d’optimiser la prise en charge et de répondre aux objectifs de la Stratégie décennale de lutte contre les cancers 2021-2030. Dans l’intérêt des patients atteints de cancer du poumon, MSD France poursuit ses efforts de recherche et contribue à renforcer l’accès à l’information pour accélérer la mise à disposition de ses innovations, accompagner les changements de pratique et améliorer l’expérience patient tout au long du parcours de soins.


À propos de MSD en oncologie

Notre objectif est de transformer les découvertes scientifiques en traitements innovants afin d’aider les patients atteints de cancer partout dans le monde. Ainsi, les chercheurs de MSD s’engagent à explorer le potentiel de l’immuno-oncologie dans plus de 30 cancers grâce à l’un des plus vastes programmes de développement du secteur. Leurs travaux, combinés à l’excellence de la recherche clinique française, ont permis à plus de 4 000 patients en France de participer à nos essais cliniques et d’accéder ainsi plus rapidement aux innovations thérapeutiques telles que l’immunothérapie. Nous continuons également à renforcer notre portefeuille par des acquisitions stratégiques et nous donnons la priorité au développement de plusieurs molécules susceptibles d’améliorer la prise en charge des patients atteints de cancer.

A propos de MSD France

Chez MSD France, filiale française du laboratoire pharmaceutique Merck & Co., Inc., Rahway, New Jersey, un objectif nous rassemble : utiliser le pouvoir de la science pour sauver et améliorer des vies. Depuis plus de 130 ans, MSD développe d’importants traitements et vaccins porteurs d’espoir pour toute la société. Nous aspirons ainsi à être le premier laboratoire biopharmaceutique au monde fondé sur la recherche, en particulier dans les domaines de l’oncologie, des vaccins et de l’infectiologie. Aujourd’hui, nous sommes à la pointe de la recherche pour mettre à disposition des professionnels de santé et des patients des solutions de santé innovantes et pour faire progresser la prévention et le traitement des maladies. Nous favorisons une culture de la diversité et de l’inclusion et agissons chaque jour de manière responsable pour offrir un avenir sûr, durable et sain pour tous. Pour plus d’informations, visitez le site www.msd-france.com et suivez-vous sur Twitter, LinkedIn et YouTube.

Sources :

1 https://www.e-cancer.fr/Expertises-et-publications/Catalogue-des-publications/Panorama -des-cancers-en- France-edition-2023 – voir p.4

2 IPSOS. Enquête : Le cancer du poumon : une maladie mal connue et discriminante. Accessible sur https:// www.ipsos.com/fr-fr/le-cancer-du-poumon-une-maladie-mal-connue-et-discriminante [Consulté en juin 2023]

3 INCa. Panorama des Cancers en France. Édition 2021

4 HAS. Guide du parcours de soins. Tumeurs malignes, affection maligne du tissu lymphatique ou hémato-poïétique. Cancers broncho-pulmonaires. Juillet 2013

5 et 6 https://www.e-cancer.fr/Professionnels-de-sante/Les-chiffres-du-cancer-en-France/Epidemiologie-des-cancers/ Les-cancers-les-plus-frequents/Cancer-du-poumon

7 Société canadienne du Cancer – https://cancer.ca/fr/cancer-information/cancer-types/lung/treatment/immunotherapy

8 Leem, Santé 2030 Une analyse prospective de l’innovation en Santé p.167

9 Institut de radiothérapie et de radiochirurgie H. Hartmann. Goldstraw P and al. J Thorac Oncol. 2016

Puteaux, le 31 août 2023 – Avec près de 17 nouveaux cas de cancers HPV induits rencensés chaque jour chez la femme et chez l’homme, les infections à papillomavirus sont un véritable fardeau1. Si leur prévention est aujourd’hui une priorité, la France reste l’un des pays européens dans lequel les taux de couverture vaccinale sont les plus faibles. Face à cette urgence de santé publique, les pharmaciens peuvent maintenant prescrire et administrer les vaccins à partir de 11 ans2. Aux côtés des médecins généralistes, infirmiers et sages-femmes, les pharmaciens d’officine sont des acteurs clef de proximité pour prévenir les maladies graves telles que celles induites par les papillomavirus. Ce nouveau parcours vient ainsi compléter la campagne vaccinale mise en place dans les collèges pour les élèves de 5ème. Une récente étude IQVIA MSD3 d’acceptabilité sur l’extension des compétences vaccinales des pharmaciens d’officine met d’ailleurs en évidence la forte adhésion de ce nouveau rôle par les parents : 70 % d’entre eux voient dans ce nouveau parcours vaccinal une possibilité d’augmenter la protection contre les papillomavirus.

Prescription et vaccination par les pharmaciens d’officine : une avancée majeure pour répondre à l’objectif de santé publique

Selon les chiffres 2022 de Santé Publique France, la couverture vaccinale contre le HPV (schéma complet à l’âge de 16 ans) est de 41,5 % chez les filles. Chez les jeunes garçons, pour lesquels la vaccination est recommandée et remboursée depuis le 1er janvier 2021, la couverture vaccinale est de 8,5 % (schéma vaccinal complet à l’âge de 16 ans)4. Ces taux encore trop bas n’offrent pas une protection suffisante de la population française face aux infections à HPV. De fait, l’objectif fixé par les autorités dans la stratégie décennale de lutte contre les cancers 2021-2030 est de 80 % des garçons et filles vaccinés contre le HPV à l’horizon 20305.

« Les papillomavirus provoquent 6 400 nouveaux cas de cancer par an avec de graves conséquences sur la qualité de vie des personnes touchées », explique Dr Rodolphe Chastel, médecin généraliste à Lyon. Il rappelle d’ailleurs que « outre le cancer du col de l’utérus, les HPV provoquent d’autres maladies graves tels que les cancers de l’oropharynx*, du pénis ou de l’anus ».

L’extension de compétences notamment aux pharmaciens d’officine est une avancée fondamentale pour simplifier le parcours vaccinal en France et soutenir l’augmentation des taux de vaccination, en particulier chez les adolescents. Les campagnes de vaccination menées lors de la pandémie de Covid-19 et de grippe ont démontré l’efficacité et la sécurité d’une vaccination organisée dans les pharmacies d’officines, notamment grâce à un maillage territorial dense, et aux compétences des pharmaciens officinaux.

« Si le médecin généraliste reste un acteur central de la vaccination, son travail doit être appuyé par les autres professionnels de santé en ville pour faciliter la vaccination, à l’image de ce qui est fait pour la grippe et la COVID, et ainsi soutenir l’augmentation des taux de couverture vaccinale », déclare Bruno Julia, pharmacien à Lherm (Haute Garonne). C’est une mobilisation à l’unisson dont il est question en cette rentrée 2023 ».

« Cette mesure est un progrès majeur car les adolescents sont généralement peu malades et donc consultent peu. Chaque opportunité de pouvoir les sensibiliser avant qu’ils ne sortent du bon créneau des recommandations vaccinales est donc à saisir ! Cet élargissement de compétence en parallèle de la mise en place de la vaccination dans les collèges ouvre la perspective d’une élimination des cancers HPV-induits d’ici une quinzaine d’années », souligne le Dr Rodolphe Chastel.

Parents et pharmaciens convaincus par le parcours vaccinal simplifié

Afin de mieux appréhender la perception des Français à l’égard de l’ouverture du rôle des officinaux sur la vaccination, MSD a initié la première étude en France qui évalue l’acceptabilité d’un parcours vaccinal HPV en officine3. Cette étude – réalisée auprès de 800 parents d’adolescents de 11 à 19 ans et de 200 pharmaciens – met en avant des résultats positifs en termes d’acceptabilité du rôle de vaccinateur de ce dernier.

85 % des pharmaciens et 70 % des parents en France voient dans ce nouveau parcours vaccinal une possibilité d’augmenter le taux de vaccination HPV. 2 pharmaciens sur 3 et 1 parent sur 2 sont d’ores et déjà favorables à une vaccination HPV en officine, de l’identification du patient à l’injection.

Des mesures associées pour atteindre les objectifs d’élimination des cancers HPV-induits

Stratégie de prévention globale

La stratégie de prévention globale des cancers du col de l’utérus s’appuie sur une complémentarité entre vaccination et dépistage par prélèvement cervico-utérin. Depuis 2018, un programme national de dépistage organisé du cancer du col de l’utérus a été mis en place. Toutefois, comme le rappelle Dr Rodolphe Chastel, « il n’existe pas de dépistage organisé en routine pour les autres cancers ».

Sensibilisation et information des parents et des ados

Par ailleurs, l’information donnée par le médecin et/ou le pharmacien est essentielle pour développer la connaissance des parents sur cette vaccination. « Il ne faut toutefois pas négliger la sensibilisation des jeunes adolescents, » rappelle le Dr Rodolphe Chastel. « Je les informe dès qu’il sont en âge de comprendre qu’il existe une vaccination qui protège de certains cancers. Ils sont tout à fait attentifs et comprennent parfaitement les enjeux. »

Formation et coordination des professionnels de santé

Afin d’accompagner au mieux les pharmaciens d’officine dans leur nouvelle mission, l’arrêté du 8 août 2023 prévoit la réalisation de formations, répartis en deux modules. L’un pour la prescription, d’une durée de 10h30, portant notamment sur les caractéristiques des maladies à prévention vaccinale, la traçabilité des vaccinations et les principales recommandations du calendrier vaccinal. L’autre consacré à l’administration, d’une durée de 7h, comprenant notamment le cadre normatif et les objectifs de santé publique de la vaccination, les modes d’injection et le suivi post-injection. Ce second module n’est pas requis s’il a été déjà réalisé.

En parallèle, le développement et l’utilisation d’outils digitaux, tel que Mon Espace Santé, permettra d’assurer la traçabilité de la vaccination, du suivi du statut vaccinal de la population et du partage d’informations entre professionnels de santé.

A propos des infections à papillomavirus (HPV)

Les infections à papillomavirus sont très fréquentes ; elles se transmettent par simple contact intime et touchent près de 80 % de la population sexuellement active6. Elles concernent les femmes comme les hommes, avec 1 homme sur 3 touché dans le monde7.

Ces infections représentent un véritable fardeau. Chaque année en France, elle sont à l’origine de 6 400 cas5 de cancers, soit environ 17 nouveaux cas de cancers par jour (col de l’utérus, vulve, vagin, anus, ORL, pénis), dont plusieurs pourraient être évités1. Parmi ces cancers, on note environ 3 000 nouveaux cas de cancer du col de l’utérus par an, responsables de plus de 1100 décès (3 décès par jour)1.

Les infections HPV sont également la cause de 30 000 lésions cervicales pré-cancéreuses entraînant environ 25 000 conisations chaque année et de 100 000 verrues génitales (50/50 hommes-femmes)1.

À propos de MSD en France

Chez MSD France, filiale française du laboratoire pharmaceutique Merck & Co., Inc., Rahway, New Jersey, un objectif nous rassemble : utiliser le pouvoir de la science pour sauver et améliorer des vies. Depuis plus de 130 ans, MSD développe d’importants traitements et vaccins porteurs d’espoir pour toute la société. Nous aspirons ainsi à être le premier laboratoire biopharmaceutique au monde fondé sur la recherche, en particulier dans les domaines de l’oncologie, des vaccins et de l’infectiologie. Aujourd’hui, nous sommes à la pointe de la recherche pour mettre à disposition des professionnels de santé et des patients, des solutions de santé innovantes et pour faire progresser la prévention et le traitement des maladies. Nous favorisons une culture de la diversité et de l’inclusion et agissons chaque jour de manière responsable pour offrir un avenir sûr, durable et sain pour tous. Pour plus d’informations, visitez le site www.msd-france.com et suivez-vous sur Twitter, LinkedIn et YouTube.

*La vaccination HPV n’a pas l’indication sur les cancers de l’oropharynx

Sources :

1 Shield D. et al. New cancer cases in France in 2015 attributable to infectious agents: a systematic review and meta-analysis. European Journal of Epidemiology. 2017
2 Décret n° 2023-736 du 8 août 2023 relatif aux compétences vaccinales des infirmiers, des pharmaciens d’officine, des infirmiers et des pharmaciens exerçant au sein des pharmacies à usage intérieur, des professionnels de santé exerçant au sein des laboratoires de biologie médicale et des étudiants en troisième cycle des études pharmaceutiques.
3 Etude IQVIA menée auprès de 800 parents d’adolescents de 11 à 19 ans, 200 pharmaciens et 200 médecins généralistes en juin 2022
4 Données de couverture vaccinale papillomavirus humains (HPV) par groupe d’âge
5 Institut National du Cancer

6 Santé Publique France, accédé le 21 décembre 2020
7 Bruni et al. Global and regional estimates of genital human papillomavirus prevalence among men: a systematic review and meta-analysis. Lancet. 2023.

Puteaux, le 20 juin 2023 – MSD France, en partenariat avec la société Tomo, annonce le lancement du service « Parlons-nous » permettant la mise en relation avec des patients spécialement formés à l’écoute et à la pair-aidance. Disponible sur le site Mon-Cancer.com du laboratoire MSD France, il tend à d’apporter des réponses fiables et personnalisées à des patients atteints de cancer, souvent en proie à l’anxiété et au doute.

Des patients aidants pour partager leur expérience de la maladie  

Depuis le site Mon-cancer.com, les patients atteints de cancer peuvent désormais prendre rendez-vous gratuitement pour une visio-conférence de 30 minutes avec le pair aidant de leur choix sur une plateforme dédiée. Les patients qui le souhaitent peuvent ainsi  échanger, en toute sécurité, avec des personnes ayant traversé, elles aussi, l’épreuve de la  maladie.

Complémentaire aux modalités de prise en charge actuelles, ce nouveau service  d’accompagnement ne se substitue pas aux conseils des soignants, ni à une prescription  médicale. Il s’appuie sur les recommandations de la HAS et de la Ligue contre le cancer en  faveur de la pair-aidance pour contribuer à améliorer la qualité de vie des patients et leur  prise en soins1. En effet, selon les résultats de l’expérimentation Patient Ressource de la  Ligue contre le cancer issue du plan cancer 2014-2019, plus de 80% des patients affirment que ce partage d’expérience leur a permis d’améliorer le vécu de la maladie et leur qualité  de vie. Par ailleurs, 65% considèrent que cette aide leur a permis d’améliorer leurs relations  avec les soignants.2 

Des doutes et questions tout au long du parcours 

Tout au long de leur parcours de soin, les patients et leurs aidants peuvent ressentir le besoin d’être accompagnés, écoutés, guidés vers des ressources utiles pour mieux  comprendre la maladie, ses traitements, les étapes de la prise en charge et ainsi gagner en  autonomie.  

 Accessible hors de l’hôpital, les patients peuvent choisir de discuter avec des  personnes qui peuvent comprendre ce qu’ils traversent et dans lesquelles ils se  “reconnaissent”. Une personnalisation permettant de diriger chaque patient vers le pair aidant le plus adapté à son profil ou à son besoin. Ils bénéficient également de conseils  pratiques pour répondre à leurs préoccupations dans un délai raisonnable, chaque fois que  nécessaire.

Innover pour engager et soutenir les patients atteints de cancer 

En partenariat avec la société Tomo, MSD France s’engage dans la mise en œuvre  de cette solution pour :  

  • Favoriser le partage d’expérience entre patients ;  
  • Garantir un espace d’échanges anonyme et sécurisé à travers une solution d’intérêt général, adaptée à son temps et à ses utilisateurs ;
  • Soutenir les patients indépendamment de leur situation géographique ou familiale ;
  • Rompre avec l’isolement social qui peut parfois représenter un facteur aggravant.
https://mon-cancer.com/accueil/parlons-nous

« Pouvoir échanger gratuitement avec des patients aidants, formés et accompagnés,  apporte un vrai soutien aux patients qui traversent la maladie. Offrir cela via un service en  ligne protégé apporte la flexibilité nécessaire pour toucher le plus grand nombre et la  garantie de discussions anonymisées qui le rendent sécurisant, tant pour les patients que  pour ceux qui proposent leur aide. Nous sommes fiers de pouvoir rendre cela possible en  collaboration avec MSD France. », ajoute Arthur Maisonnier, fondateur de Tomo.

« Nous sommes convaincus que les patients sont devenus des acteurs à part entière  de leur prise en charge, c’est la raison pour laquelle MSD France travaille à la mise en  œuvre de solutions concrètes et innovantes pour améliorer l’expérience patient tout au long du parcours de soins. Le service « Parlons-nous », en partenariat avec la société Tomo, est  une illustration de cet engagement pour favoriser la mise en relation avec des patients  aidants et apporter un soutien à ceux qui en éprouvent le besoin afin de les rassurer et de  les conseiller dans le combat qu’ils mènent contre la maladie. », conclut le Dr Philippe  Bonnard, Directeur médical oncologie de MSD France.

A propos de Mon-Cancer.com 

Parce que chaque cancer est différent et que chaque patient est unique, le site Mon-cancer.com se  positionne comme un allié du quotidien pour accompagner les patients atteints de cancers et leurs  aidants. Construit sur la base d’échanges avec des associations de patients et des professionnels de  santé, Mon-Cancer.com apporte des informations à la portée de tous, des conseils pratiques et de  nombreux services pour mieux vivre la maladie. Retrouvez ainsi des informations sur votre cancer,  votre traitement et votre parcours de soins, sous forme d’articles, de témoignages vidéo et d’animations  pédagogiques qui vous aideront à mieux comprendre la maladie et ses implications… car bien  connaître son cancer, c’est déjà l’affronter. Pour plus d’informations, visitez le site www.moncancer.com.  

À propos de Tomo 

Tomo est un service visant à améliorer le parcours de soins des patients. Nous avons créé pour cela  une plateforme réunissant une communauté de patients aidants avec qui les patients peuvent prendre  des RDV et échanger en visio/tél./message de manière sécurisée et anonyme, pour se renseigner sur  le vécu de leur pathologie et/ou rompre avec l’isolement dont ils font face. Les patients aidants présents  sur la plateforme suivent une formation dispensée par un organisme agréé Qualiopi, et sont  accompagnés tout au long de leur activité. Nous permettons aux partenaires d’améliorer la prise en  charge des patients, d’être aligné avec les recommandations de la HAS et de promouvoir l’innovation  en santé. Tomo travaille avec des établissements de santé, laboratoires pharmaceutiques et mutuelles.  Pour tout complément d’information visitez le site www.jointomo.com, et suivez-nous sur LinkedIn.  

Communiqué de presse MSD France : documents strictement destinés à l’information de la presse. MSD France vous remercie de bien vouloir  tenir compte, dans l’utilisation que vous pourriez faire des informations contenues dans ce dossier, tant des dispositions du code de la santé  publique réglementant la publicité pour le médicament que de celles de la Charte SPEPS/UDA/LEEM. 

1« Il est recommandé d’encourager et de soutenir les différentes formes d’engagement des personnes au bénéfice de leur santé,  leur bien-être ou leur qualité de vie, ou ceux de leurs pairs* et pour la qualité des soins et des accompagnements. » Soutenir et encourager l’engagement des usagers dans les secteurs social, médico-social et sanitaire, HAS, Septembre 2020

2 Résultat de l’expérimentation Patient Ressource de la Ligue contre le cancer issue du plan cancer 2014-2019

Puteaux, le 19 juin 2023 – MSD France, filiale du laboratoire pharmaceutique américain Merck & Co., Inc., Rahway, NJ (Etats-Unis), acteur majeur en oncologie, en infectiologie et dans les vaccins, a réuni ce jour son Comité de Direction et de nombreux collaborateurs pour la signature de la charte de l’Autre Cercle, organisme leader pour l’inclusion et la gestion de la diversité LGBT+ au travail.

S’engager dans la lutte contre les discriminations liées à l’orientation sexuelle ou aux identités de genre, c’est créer de manière durable un environnement inclusif, tolérant et bienveillant, qui garantisse à toutes et tous une égalité de droit et de traitement mais aussi soutenir les collaborateurs et/ou collaboratrices LGBT+ victimes d’actes discriminatoires.

            Pour faire de la diversité et de l’inclusion (D&I) une réalité quotidienne au travail, MSD France a pris des engagements forts. Cinq ambassades se mobilisent depuis près de 2 ans pour proposer et mettre en place des actions structurantes autour de 5 thématiques liées à la D&I, dont la thématique LGBT+. Cette culture inclusive a notamment été reconnue au travers de la certification Great Place to Work, au décours de laquelle les collaborateurs ont affirmé être équitablement traités, quels que soient leurs orientations sexuelles (97%) ou leur genre (93%).

« La diversité et l’inclusion est l’un des axes d’engagement forts de notre entreprise, au cœur de notre démarche RSE. Convaincus que la diversité créé la richesse, la signature de la charte de l’Autre Cercle est une des concrétisations de notre volonté d’offrir à nos collaborateurs un environnement de travail empreint de tolérance, où chacun peut se sentir accepté et libre d’être qui il est. En signant cette charte aux côtés de nombreuses autres organisations, MSD France souhaite contribuer à favoriser l’inclusion non seulement au travail, mais également au sein de la société en général. », a déclaré Clarisse Lhoste, Présidente de MSD France.

Puteaux, le 15 mai 2023 – Apprendre à apaiser ses douleurs musculo-articulaires est un nouveau sujet dédié sur l’application myCharlotte, spécialisée dans les soins de support digitaux à destination des patients soignés pour un cancer. En partenariat avec l’alliance MSD France et AstraZeneca, myCharlotte diffuse sur son application web une nouvelle série de contenus multimédias nommée “Douleurs musculo-articulaires” afin de toujours mieux accompagner les patients atteints de cancer.

Apaisement des douleurs musculo-articulaires : répondre aux besoins des patients atteints de cancer pour améliorer leur qualité de vie

Plus de la moitié des patients traités pour un cancer ressentent de la douleur1. C’est une sensation souvent éprouvée au cours de la maladie qui n’est pas ressentie par tous de la même façon, même chez les patients soignés pour un même cancer. Elle peut avoir différentes origines, être localisée ou plus diffuse, et elle est souvent associée à d’autres symptômes. Elle impacte aussi parfois lourdement la qualité de vie des patients :

« Lorsque vous vous retrouvez quotidiennement avec des douleurs dans les hanches, les genoux, les épaules, au point de ne pas pouvoir vous mouvoir librement et que cela occupe votre esprit en permanence, ça devient vite invivable. Parce qu’il est possible d’y remédier par des exercices d’étirements et de décentrage de la douleur, je souhaite les mettre à disposition d’autres patients, afin qu’ils sachent quoi faire pour prévenir et réduire ces douleurs. », Charlotte MAHR, Co-fondatrice de myCharlotte.

Ainsi, myCharlotte a pour volonté d’aider les patients dans l’amélioration de leur qualité de vie en apaisant les douleurs rencontrées au quotidien et dont il est important de se préoccuper le plus tôt possible.

Une nouvelle série de contenus digitaux en accès libre sur l’application myCharlotte


Cette nouvelle série de vidéos et audios a pour thématique la gestion des douleurs musculo-articulaires liées au cancer et ses traitements. Psychologie, kinésithérapie, gestion de la douleur, auto-hypnose… Ce dossier apporte non seulement des conseils, mais également des activités pratiques que les patients peuvent réaliser chez eux, en étant guidés, pour travailler sur l’apaisement ainsi que sur les aspects psychologiques liés aux mécanismes de la douleur.

Désormais disponible sur l’application myCharlotte, la série se base sur différents témoignages de professionnels de santé et de pratiques recommandées par des médecins, kinésithérapeutes, thérapeutes, pour mieux comprendre et apaiser les douleurs.


Qu’est-ce que myCharlotte ?

myCharlotte est une start-up qui propose un parcours d’accompagnement pour les personnes atteintes de cancer pendant et après la maladie.


Son application web permet d’aider les patients à apprendre à vivre avec leur maladie en leur donnant des clés pour gérer du mieux possible son impact et celui des effets secondaires des traitements. Cet accompagnement se fait en s’appuyant sur l’expérience d’autres patients, avec des contenus audios et vidéos pour avoir les moyens de se sentir mieux quand la personne en ressent le besoin.


L’alliance MSD France – AstraZeneca apportent leur soutien pour accompagner au quotidien les patients atteints de cancer


Compte tenu de leur expertise dans le domaine de l’oncologie et de leur volonté commune d’accompagner les patients atteints de cancer tout au long du parcours de soins, les laboratoires pharmaceutiques MSD France et AstraZeneca ont souhaité participer à ce projet de contenus multimédias élaborés par myCharlotte. Un besoin de plus en plus exprimé par les patients et leurs médecins, en attente d’outils qui puissent les aider dans leur quotidien.

Parce que nous sommes convaincus que les patients sont devenus des acteurs à part entière de leur prise en charge, MSD France travaille à la mise en oeuvre de solutions concrètes et innovantes pour améliorer l’expérience patient tout au long du parcours de soins. Notre partenariat avec myCharlotte est une illustration de cet engagement pour favoriser la mise à disposition de contenus digitaux adaptés aux besoins des patients atteints de cancer”, explique le Dr Philippe Bonnard, Directeur médical oncologie de MSD France.

Les patients souhaitent être impliqués dans le choix et la prise en charge de leur traitement. En tant que laboratoire innovant, nous estimons qu’il est de notre devoir de répondre à leurs besoins et les accompagner tout au long de leurs parcours. Le soutien de myCharlotte illustre tout l’engagement qui nous anime au quotidien : contribuer, aux côtés du personnel soignant, à augmenter le pouvoir des patients sur leur maladie dans le but d’améliorer leur qualité de vie sur le long terme“, conclut le Dr Nicolas Ozan, Directeur médical oncologie et hématologie d’AstraZeneca France.

Puteaux, le 5 avril 2023 – MSD France, filiale du laboratoire pharmaceutique américain Merck & Co., Inc., Rahway, NJ (Etats-Unis), acteur majeur en oncologie, en infectiologie et dans les vaccins, annonce avoir été reconnu par Great Place to Work® comme l’une des 30 entreprises de 250 à 1 000 salariés “Best Workplaces” où il fait bon travailler en France en 2023. MSD France est ainsi distingué dès sa première participation au label Best WorkplacesTM, qui constitue l’un des plus hauts niveaux de reconnaissance de la qualité de l’environnement de travail au sein des organisations.

Après avoir obtenu en décembre 2022 sa première certification Great Place to Work®, MSD France s’est vu décerner ce label devoilé lors d’une cérémonie de célébration. Cette labellisation est accordée à MSD France sur la base d’un Culture Audit® évaluant les pratiques managériales de l’entreprise et des résultats de l’enquête Trust Index® menée auprès de ses collaborateurs et qui s’articule autour de cinq critères : la crédibilité, le respect, l’équité, la fierté et la convivialité.

Pour Guillaume Jarlot, Directeur des Ressources Humaines : « Chez MSD France, nous sommes attentifs à créer les conditions d’un épanouissement de nos collaborateurs à chaque étape clé de leur vie professionnelle. Nous sommes donc ravis d’intégrer ce label pour la première fois, et d’autant plus fiers que cette reconnaissance intervient dès notre première année de participation. »

Une labellisation permise par des initiatives fortes pour soutenir et accompagner les collaborateurs au quotidien

MSD France s’attache à bâtir une culture d’entreprise qui permette à chacun de s’épanouir, notamment au travers d’une politique audacieuse de formation et d’accompagnement dans le développement des carrières.

Pour faire de la diversité et de l’inclusion non seulement un discours, mais une réalité pour tous, MSD France a mis en place une ambassade D&I, dans laquelle sont investis 25 collaborateurs répartis en 5 équipes, engagés à développer de nouvelles actions autour de la diversité socio-culturelle & l’égalité des chances, la diversité intergénérationnelle, le handicap & maladie, l’égalité professionnelle et le leadership au féminin et la diversité LGBTQIA+.

MSD France souhaite accompagner ses collaborateurs à chaque étape clé de leur vie pour soutenir un équilibre de vie personnelle et professionnelle, au travers notamment de mesures tangibles en matière de parentalité ou d’accompagnement des collaborateurs faisant face à la maladie ou à celle d’un proche.

La labellisation Best Workplaces™ représente une récompense collective et témoigne de l’engagement de chacun vis-à-vis de notre mission de santé publique qui nous encourage chaque jour à donner le meilleur de nous-mêmes et à créer un environnement de travail épanouissant et porteur de sens” a souligné Clarisse Lhoste, Présidente de MSD France.

Puteaux, le 16 janvier 2023 – MSD France, filiale du laboratoire pharmaceutique américain Merck & Co, Inc, Rahway, NJ (Etats-Unis) a été certifiée Great Place to Work®, un label qui constitue l’un des plus hauts niveaux de reconnaissance de la qualité de l’environnement de travail au sein d’une entreprise. L’enquête, menée en octobre 2022 pour la première fois auprès des collaborateurs de MSD France et dispensée sous la forme d’un questionnaire en ligne anonyme, a permis de recueillir l’avis d’environ 600 collaborateurs de la filiale française.

Les résultats révèlent que près de 8 collaborateurs sur 10 considèrent qu’il fait bon travailler chez MSD France. Ils ont également exprimé un niveau de satisfaction particulièrement élevé sur les sujets d’équité et d’éthique, et ont massivement témoigné de leur sentiment de fierté au regard de leur emploi, de leur équipe et plus largement, de l’entreprise et de sa mission de santé publique – utiliser le pouvoir de la science pour sauver et améliorer des vies, une mission au service des patients et riche de sens au quotidien.

Les collaborateurs saluent la culture d’équité chez MSD France

Le thème de l’équité au travail a été particulièrement salué lors de cette enquête, les collaborateurs ont affirmé être équitablement traités, quelles que soient leurs orientations sexuelles (97%), leur origine ethnique (96%) ou leur genre (93%).

Pour Guillaume Jarlot, Directeur des Ressources Humaines : « Cette reconnaissance récompense l’ensemble des efforts et des initiatives de l’entreprise pour offrir aux collaborateurs un environnement de travail épanouissant, respectueux de chacun et qui donne du sens. Nous sommes très fiers des résultats obtenus qui nous motivent à continuer d’améliorer le quotidien de nos collaborateurs, en cultivant notamment des notions qui nous sont chères, telle que la diversité et l’inclusion ou encore l’humain au cœur de notre entreprise. »

Ces dernières années, MSD France a déployé des initiatives fortes en faveur du bien-être des collaborateurs. Outre la mise en place depuis 2021 du télétravail 2 jours par semaine pour l’ensemble des salariés, plusieurs mesures concrètes et différenciantes sont nées en 2022. Parmi elles, la possibilité pour les collaborateurs qui assurent également un rôle de proche aidant de bénéficier de dons de jours de congés de la part de leurs collègues, abondés par MSD France.

Depuis 2022, l’ensemble des salariés MSD France peut par ailleurs bénéficier d’un congé parental de 12 semaines, rémunéré à 100% du salaire, l’objectif étant de soutenir toutes les familles et de leur donner la possibilité d’accueillir leur enfant dans les meilleures conditions mais aussi de favoriser de manière concrète l’équilibre des tâches entre les deux parents.

4 collaborateurs sur 5 se disent fiers de travailler chez MSD France

La fierté ressort également comme un axe particulièrement fort dans l’enquête avec 80% des collaborateurs du périmètre ayant répondu positivement aux questions qui y sont relatives. Dans le détail, ils sont 86% à se déclarer fiers de leurs réalisations, mais également 80% à considérer que leur activité professionnelle a un sens particulier pour eux, qu’ils ne la considèrent pas uniquement comme un emploi : un chiffre qui témoigne d’un fort engagement de chacun vis-à-vis de MSD France et de sa mission.

Ce niveau élevé de fierté exprimé par les collaborateurs nous honore et je les en remercie. Cette conscience collective du rôle que nous avons à jouer en termes de santé publique nous engage chaque jour à donner, ensemble, le meilleur de nous-mêmes pour sauver et améliorer des vies” explique Clarisse Lhoste, Présidente de MSD France.

Puteaux, le 5 avril 2022 – Dans le cadre de ses initiatives en faveur de la diversité et de l’inclusion au sein de ses équipes et de l’égalité professionnelle, MSD France annonce instaurer à compter du mois d’avril 2022, un congé parentalité qui bénéficiera à tous ses salariés qui accueillent un enfant dans leur foyer. Il inclut le congé paternité déjà prévu par la loi et portera ainsi à 12 semaines le congé parentalité rémunéré à 100 % du salaire de base du collaborateur.

Ce nouveau congé rémunéré sera offert à tout salarié en contrat à durée indéterminée ou en contrat à durée déterminée d’au moins un an, qui accueille un enfant ou dont le ou la partenaire accueille un enfant, dans le cadre d’une naissance ou d’une adoption. L’instauration de cette mesure a pour objectif de soutenir toutes les familles et de donner aux parents, femmes et hommes, la possibilité d’accueillir leur enfant dans les meilleures conditions.

« MSD France s’engage en faveur de la diversité et de l’inclusion et a pour objectif de constituer des équipes qui sont le reflet de la société dans laquelle nous évoluons aujourd’hui » a déclaré Guillaume Jarlot, directeur des ressources humaines de MSD France. « L’instauration d’un congé parentalité rémunéré doit permettre d’assurer l’équité de tous nos salariés au sein de l’entreprise, quel que soit leur sexe ou la composition de leur foyer, et de permettre à chaque famille d’accueillir leur enfant en toute sérénité. »

« Ce nouveau congé parentalité rémunéré porté à 12 semaines vient illustrer notre engagement en faveur de la parentalité, de la parité et de l’égalité de tous nos collaborateurs » a précisé Clarisse Lhoste, présidente de MSD France« Au même titre que notre programme de places en crèches d’entreprise, de remboursement des frais de garde lors de certains déplacements professionnels ou toutes les mesures de flexibilité présentes au quotidien, ce nouveau dispositif vient renforcer notre politique pour encourager l’équilibre entre vie personnelle et professionnelle et ce faisant, l’épanouissement et la qualité de vie au travail de tous les collaborateurs de MSD France. »